LE ROLE DES CHEFS DE NOS JOURS, PASSER LE MESSAGE
UTILISER LA PAROLE DES CHEFS POUR MOTIVER LA JEUNESSE
Il faut motiver la jeunesse kanak à partir se former à l'extérieur du pays pour acquérir des compétences.
Pour diriger un pays comme le notre il faudrait former environ quatre à cinq milles cadres locaux, 1000 cadres ont été formé par 400 cadres et cadres avenirs.
Des projets comme GORONICKEL ou l'USINE DU NORD prennent facilement à eux seuls une grande partie de cette masse de l'encadrement formée.
Des secteurs comme le BTP, la santé, l'éducation manquent cruellement de cadres kanaks.
La jeunesse kanak doit participer activement à ce processus d'émancipation politique et économique.
Il faut exploiter tous les dispositif de formation mise en place, BTF, CADRES AVENIRS, ANT, BOURSE DE PROVINCE....
Pour cela il faut utiliser notre mode de communication à nous les océaniens, "LA PAROLE". Je parle de ça par ce que je fais partie d'un clan chef dans la valléede wawiluu.
J'ai des guerriers, des gardiens de terre, des orateurs et des sujets. Tout cela ressort lors des échanges à la tribu.
Il n'est pas question de revenir en arrière mais d'aller de l'avant en utilisant cette autorité en tant que chef pour faire avancé les choses .
On détient se pouvoir de parole dans la chefferie, utilisons là pour motiver les jeunes dans chaque clan, chaque famille.
Il faut utiliser la racine de notre identité pour faire passer des messages fort à notre jeunesse.
La famille c'est notre force!
Ce statut de grand chef que l'on a hérité de nos ancêtres, de "ORAUKAU"!! il faut l'exploiter.
Dans chaque chefferie il faut organiser des réunions pour pousser les jeunes, faire prendre conscience qu'il faut partir dès maintenant se former en FRANCE, au QUEBEC ou en AUSTRALIE.
C'est ça la lutte en 2008, la formation!!
Des bacheliers il y en a dans les tribus, dans les quartiers et villages. Certains occupent des emplois qui ne correspondent pas à leurs capacité intellectuelles, d'autres stagnent à la tribu.
Je ne dis pas que la vie tribale est mauvaise mais le combat pour l'indépendance il se mérite et ces bourses, ces avantages c'est par le sang qu'on l'a eu.
Les chefs doivent guider leurs clans vers ce processus d'émancipation.
LA CHEFFERIE C'EST LA BASE DE NOTRE COMBAT!!!
Il faut motiver la jeunesse kanak à partir se former à l'extérieur du pays pour acquérir des compétences.
Pour diriger un pays comme le notre il faudrait former environ quatre à cinq milles cadres locaux, 1000 cadres ont été formé par 400 cadres et cadres avenirs.
Des projets comme GORONICKEL ou l'USINE DU NORD prennent facilement à eux seuls une grande partie de cette masse de l'encadrement formée.
Des secteurs comme le BTP, la santé, l'éducation manquent cruellement de cadres kanaks.
La jeunesse kanak doit participer activement à ce processus d'émancipation politique et économique.
Il faut exploiter tous les dispositif de formation mise en place, BTF, CADRES AVENIRS, ANT, BOURSE DE PROVINCE....
Pour cela il faut utiliser notre mode de communication à nous les océaniens, "LA PAROLE". Je parle de ça par ce que je fais partie d'un clan chef dans la valléede wawiluu.
J'ai des guerriers, des gardiens de terre, des orateurs et des sujets. Tout cela ressort lors des échanges à la tribu.
Il n'est pas question de revenir en arrière mais d'aller de l'avant en utilisant cette autorité en tant que chef pour faire avancé les choses .
On détient se pouvoir de parole dans la chefferie, utilisons là pour motiver les jeunes dans chaque clan, chaque famille.
Il faut utiliser la racine de notre identité pour faire passer des messages fort à notre jeunesse.
La famille c'est notre force!
Ce statut de grand chef que l'on a hérité de nos ancêtres, de "ORAUKAU"!! il faut l'exploiter.
Dans chaque chefferie il faut organiser des réunions pour pousser les jeunes, faire prendre conscience qu'il faut partir dès maintenant se former en FRANCE, au QUEBEC ou en AUSTRALIE.
C'est ça la lutte en 2008, la formation!!
Des bacheliers il y en a dans les tribus, dans les quartiers et villages. Certains occupent des emplois qui ne correspondent pas à leurs capacité intellectuelles, d'autres stagnent à la tribu.
Je ne dis pas que la vie tribale est mauvaise mais le combat pour l'indépendance il se mérite et ces bourses, ces avantages c'est par le sang qu'on l'a eu.
Les chefs doivent guider leurs clans vers ce processus d'émancipation.
LA CHEFFERIE C'EST LA BASE DE NOTRE COMBAT!!!